Le studio
Sound of Silences pas tout à fait mais presque
[ Un petit texte rapide, entre "Point sur Nolife", état des lieux et rappels utiles. Ce même texte à été posté il y a peu sur le forum CasusNo, mais puisqu'il peut être utile ici pour référence, je le reposte. navré pour les doublons, la répétition, les redites et les impressions de déja-vu... ]
Hello
Juste pour clarifier : les retards sur Silences, c'est ma pomme à 98%, et la mouise pour compléter. La responsabilité de François est après la virgule, et en vrai il s'occupe de garder l'équipe nourrie / logée avec un vrai boulot prenant, donc on dit merci.
Toutes les idées pour '' Silences '' sont là depuis des années, la base était écrite (mal, mais claire) avant le LdB, et ce sont mes idées à la con qui ont fait dérailler le truc. Navré.
Il y a trois ans, on a repris le taureau par les couilles (plus efficace que les cornes ; taureau plus docile, plus calme ; essayez ) et on a relancé la machine. Et là, bim, ma mauvaise idée : l’hémorragie cérébrale bête, la tumeur, la rea / les soins intensifs (à l'époque où ce n'était même pas à la mode). Un mois calme, et hop, premier infarctus cérébral. Pour changer. Pour rire. Retour à l'hosto.
Depuis, on essaie de calmer le jeu, de garder la tête au frais, et on avance. Je tape de nouveau presque droit : problèmes moteurs réduits au maximum, et les troubles visuels sont presque compensés. La parole (si on peut appeler ça comme ça) n'est pas une gros soucis pour le taff. J'ai simplement... (roulement de tambour)... arrêté le JdR sur table (les dégâts sur ma voix sont importants, et la fatigue impacte ça très fort). C'est très con, mais bon, le supplément s'appelle " Silences ". À défaut d’être pratique, c'est drôle. Bon, ok, faut aimer l'ironie.
Du coup, j'ai envie de vous dire qu'on est sur le bon chemin, qu'on avance de nouveau, mais l’expérience me dit que ce n'est pas une promesse à faire. En plus de la peur de me porter la poisse. Mais je le pense très fort. On continue à bosser, un peu mieux et plus chaque jour. On a commencé à trier ce qui est prêt, ce qui ne l'est pas, ce qui peut être mieux, ce qui est inutile. On a même réinvoqué le grand ancien Grümphulu pour voir s'il tenait encore son style ou si on essayait de faire mieux en profitant de ses années d'expérience en plus. Le Chagar nous a aidé à tenir un petit pas calme, un peu inquiet, un peu reposant. On tente un trot tranquille, pour voir l’état des sabots. Mais on avance toujours.
Le reste est à venir. Merci d'être encore là. On continue aussi longtemps que possible. Promis.